Haïti a connu une situation de crise intense quasiment dans tous les domaines de la vie nationale qui prévoit d’être plus difficile encore selon les signaux lamentables de tous les jours. Malgré ces difficultés qui gangrènent la population et laissant place au statistique macabre de l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO). Des secteurs distincts, ne restent pas les bras croisés à en croire cette fête de l’agriculture de l’années en cours.
Pour redorer le blason, l’Université de Léogâne (UniveL) tient mordicus à sa traditionnel foire gastro-artisanale pour la sixième fois de suite. Une activité permettant non seulement de faire marcher une partie de l’économie et encourageant la consommation locale mais aussi d’exposer en grande partie les produits d’anciens et actuels étudiants comparativement à d’autres.
La consommation locale est une garantie pour notre santé selon le vice-recteur général de l’Univel qui encourage les gens à mieux se comporter face à l’esemble des produits sur le marché haïtien. l’Agronomme Duckens Dorcilien qui ne s’aligne pas sur le flux des importations de produits sutout chez nos voisins, des produits auquels qui ont des conséquences nocives sur notre santé, ne peut en aucun cas être de références pour résoudre le problème du pays qui a surtout, sa propre culture, ses propres coutumes mais aussi à la concurrence déloyale qui n’encourageant pas à contribuer à une économie forte et solidaire pour des raisons bien visibles dans le pays.
Chaque année l’activité prend son essort. Et ces dernières années n’ont pas été facile dans le secteur d’agriculture mais, comme à chaque citoyen qui doit apporter sa participation pour la réfondation de la nation, l’Agronomme Duckens Dorcilien croit aux sacrifices d’un petit nombre pour une grande cause commune qui ferait du pays ce qu’il faudrait-être par rapport à son histoire.
Des manquements ont permit aux entités de l’Université de Léogane (UniveL) de prendre la décision de lancer cette activité depuis 2018. Les responsables souhaitent avoir contribuer à la formation des jeunes qui pourraient à leur tour partageront des valeurs ceux pour quoi, ils ont été formé.
Pierre Richard POLIDOR