Selon la commission Justice et paix, de janvier à septembre 2018,
535 cas de morts d’actes de violences dont 415 morts par balles ont été recensés sur le territoire national.
60% de ces cas sont enregistrés dans la commune de Port-au-prince, dans des zones comme T-bois, Grande-ravine, Fontamara, bicentenaire, cité de l’éternel, cité de Dieu pour ne citer que ces zones là .
Pour parvenir à reprendre le contrôle de ces quartiers, pris en otages par des groupes armés, le parlementaire exhorte les autorités policières à utiliser des techniques appropriées en vue de contrer les actes des bandits. L’élu de l’artibonite, ne minimise pour autant la force des gangs, armés des armes de gros calibres. Il revient donc à la police nationale d’appliquer ses principes en tant que force légale, en vue de mettre ces malfrats hors d’état de nuire, a poursuivi le sénateur.
Le représentant du département de l’Artibonite au niveau du grand corps croit que cette situation, combien intolérable ne peut plus continuer dans la capitale. Il invite le premier ministre Jean Henry Céant, président du CSPN, a se pencher rapidement sur ce dossier.
Renick Joseph