Dans la mort du numéro 2 du régime de Téhéran, le général Qassem Soleimani tué dans une frappe américaine le 3 janvier 2020. Le président Américain est face à l’Iran et l’aide de l’Interpol est sollicitée pour mettre la main sur Donald Trump qui fait l’objet d’un mandat d’arrêt ,selon l’agence de presse officielle Iranienne.
Le président américain Donald Trump avait effectivement ordonné sans en annoncer le Parlement d’une frappe de drone contre un convoi iranien à Bagdad, en Irak, avec l’objectif de tuer le numéro 2 du régime de Téhéran . Dans une offensive qui a eu lieu trois jours après un raid des pro-iraniens contre la “zone verte” de Bagdad où se trouvent les lieux de pouvoir occidentaux en Irak, et notamment l’ambassade des États-Unis. « Une démonstration de force visant à montrer les muscles de l’Iran face aux Américains »
D’après les observateurs internationaux cela parait comme une stratégie chimérique de la politique iranienne et qui n’aura pas de résultats. D’un autre côté pour le procureur de Téhéran Ali Alqasimehr , Donald Trump serait formellement inculpé une fois son mandat présidentiel terminé.
Cependant la république Iranienne ne compte pas baisser les bras, elle veut que justice soit faite, ce n’est pas par un simple hasard qu’elle a sollicitée l’aide de l’Interpol. Et une demande à l’organisation policière pour émettre à Donald Trump une “Notice rouge”. Qu’ ainsi que 35 autres personnes responsables à divers niveaux du raid contre Qassem Soleimani, le défunt chef du corps des Gardiens de la révolution islamique.
Source : AFP
Jeff JEAN