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L'organisation Justice et solidarité dénonce la violation des droits humains dans la prison civile de Petit-Goâve.

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Dans la prison civile de Petit-Goâve, des détenus contractent des maladies infectieuses comme la tuberculose et le VIH. Une organisation des droits de l’Homme, Justice et Solidarité, a élevé la voix contre les mauvaises conditions de détention dans ce centre d’incarcération.
Gina Louis Jeudi et Ebentz Exantus,deux responsables de Justice et Solidarité, disent constater que les détenus sont entassés comme des sadines. Pour leurs besoins physiologiques, ces derniers utilisent des récipients (bokits). Ainsi, ils cohabitent avec des matières fécales jusqu’au levée du soleil ce qui met en peril de jour en jour la santé des prisonniers de la juridiction.
Ceux dont les parents ont les moyens, payent aux bourreaux de la prison pour avoir l’accès de croiser des draps au plafond comme de l’étagère pour s’endormir un peu mieux.
Justice et Solidarité dit souhaiter que la prison qui a été récemment construite soit mise à la disposition des prisonniers et une maison d’arrêt pour les détenus en vue de séparer les prisonniers et les détenus.
Le directeur exécutif de Justice et Solidarité, Ebentz Exantus, souhaite que le combat soit effectif pour éviter la justice expéditive et la vengeance privée à divisent toute la communauté.
Anel Joseph

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