Les gaz lacrymogènes n’ont pas d’effets sur le long-terme sur l’organisme. Ce qui veut dire, les personnes qui en constamment exposées ne sont pas à risques, sauf si elles ont des pathologies (asthme, tuberculose, maladies pulmonaire chronique obstructive etc.) ou affections sous-jacentes.
Les effets sur le corps sont multiples : gênes respiratoires ;
nausées, vomissements ;
irritation des voies respiratoires ;
irritation des voies lacrymales et des yeux ;
spasmes ;
douleurs thoraciques ;
dermatites, allergies.
À forte dose : l’effet le plus fréquent reste les brûlures pouvant aller jusqu’au second degré ;
l’irritation oculaire peut parfois se compliquer de lésions de la cornée ou d’hémorragies du vitré ;
nécrose des tissus dans les voies respiratoires ;
nécrose des tissus dans l’appareil digestif ;
œdèmes pulmonaires ;
hémorragies internes (hémorragies des glandes surrénales) ;
dégradation des produits en d’autres substances toxiques (cyanure et thiocyanate).
La Santé au Rythme