L’hôpital Saint Michel, le plus grand centre hospitalier du département se trouve dans de grandes difficultés. Une situation qui paralyse son bon fonctionnement par rapport aux faibles moyens que connait cette institution.
Manque de personnels de santé, la subvention financière en matériel du ministère de la santé publique et de la population (MSPP) ne peut pas faire fonctionner correctement l’HSM, se plaint le directeur départemental du plus grand centre médical le docteur Newton Jeudy.
L’état ne contribue pas vraiment aux soins des patients qui fréquentent l’hopital Saint Michel de Jacmel, en ce sens il lance un appel à l’aide aux bons Samaritains.
L’ancien directeur Médical de l’hôpital Saint Michel de Jacmel dans un budget prévisionnel, lors de son passage à la tête de cette institution a estimé que deux millions de gourdes pourrait faire fonctionner ce centre. Il en a profité pour lancer un appel à tous et à la société civile en vu de contribuer pour la bonne marche de cette institution.
Selon le Médecin c’est une situation très difficile et compliquée. L’administration n’est pas en mesure de trouver de l’argent pour alimenter en carburants la génératrice du plus grand centre hospitalier qui consomme dix gallons de diesel, pour une production de soixante minutes d’électricité.
Le phénomène d’insécurité et de kidnaping que confronte le pays constituent parfois un handicap pour le bon fonctionnement de l’hopital Saint Michel, particulièrement le service de chirurgie, d’anestesis et d’autres, à cause des personnels qui habitent dans la capitale haïtienne sont restés bloquer parfois, ne peuvent pas traverser à martissant pour rentrer dans la ville de Jacmel.
L’hopital Saint Michel de Jacmel malgré son agrandissement après sa reconstruction ne cesse de faire face à un manquement de personnels de santé.
Ce centre compte 56 employés contre actuels qui depuis treize mois ne perçoivent pas leur salaire.
Rappelons que l’hopital Saint Michel de Jacmel a été reconstruit et inaugurer depuis environ cinq années, grâce aux supports financiers de la coopération Japonaise, la Croix Rouge Américaine et la Croix Rouge Canadienne
Soulignons que cinq années plus tard le bâtiment ne reçoit pas même une touche de peinture par les responsables.
Par : Fabrice Antoine
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